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Relire et valider des pages de cocons sémantiques

La relecture et la validation d’un cocon sémantique répond à des règles un peu particulières, qu’il faut connaître avant de se lancer.

Voici quelques éléments résumant la nature d’un cocon sémantique, et les conséquences que cela a sur la manière d’en appréhender les éléments qui le composent : 

  • Un cocon sémantique est déposé sur un site pour booster des pages, que l’on va qualifier d’atterrissage (il s’agit en général de catégories de produits pour les e-commerce) sur les moteurs de recherche, notamment Google.
  • Ce sont ces pages (celles qui sont boostées par le cocon), qui vont à la guerre contre la concurrence, pour obtenir les meilleures positions sur des requêtes à forte concurrence.
  • En conséquence, l’objectif n’est pas de faire positionner les pages du cocon en lui-même, sur les requêtes les plus importantes.
  • Cela n’empêche pas les pages du cocon de se positionner sur des requêtes annexes / afférentes (la longue traîne, voire la moyenne traîne). Mais, le trafic correspondant restera faible au regard de celui obtenu par les pages d’atterrissage.

Il faut également garder à l’esprit que les pages de cocons sémantiques ont en général été rédigées par une équipe indépendante : des rédacteurs web dont c’est le métier. Ceux-ci se sont pliés à de nombreuses règles. Voici les principales :

  • Se conformer à une ligne éditoriale.
  • Tenir compte du contexte et/ou des cibles visées.
  • Utiliser un vocabulaire cohérent entre toutes les pages.
  • Rédiger un certain nombre de mots (notamment si le cocon a été rédigé dans le cadre d’une prestation).
  • Intégrer des liens dans le texte (le maillage interne au cocon).
  • Rédiger des titres intégrant des subtilités sémantiques (ne pas répéter les mêmes mots-clés pour la Title, les titres, l’url de la page).
  • Intégrer des illustrations.
  • Intégrer des liens vers des pages externes au cocon et au site cible (être « généreux », un signal positif pour les moteurs).
  • Utiliser des éléments de mise en forme : liste à puces, mise en gras, etc.
  • Surtout : optimiser le texte avec un outil sémantique de type YourTextGuru, les Métamots, 1.fr, etc. Ce qui veut dire que chaque mot compte, que tout est pris en compte et calculé par l’outil. 

Vous l’avez compris : on ne peut pas relire et corriger des pages de cocon sémantique comme on le fait avec les pages édito classiques de son site : il n’est pas du tout recommandé de casser la structure, de remplacer certains mots, de changer les titres. 

Il faut savoir ce que l’on veut : faire un « beau texte », ou obtenir un élément optimisé, dans un tout optimisé, pour envoyer les « bonnes pages » à la guerre contre la concurrence.